poésie : quatrains µcréa µflood µécriture

ma terrasse.
c'était une pierre bleue,
qui volait dans les cieux,
son âge était vieux,
et elle n'avait pas d'yeux.

presqu' antique.
qui nous amène la lumière ?
c'est la belle et immortelle.
cela ne m'avance guère.
c'est la pure et claire chandelle.

fatalité.
quant on s'ras vieux,
si on est pas,
les dieux des cieux,
on mourreras.

astrologie .
le soleil,
est très loin,
est chaud et brille,
d’une fusion sans fin.

xvi .
un beau quatrain,
de vers rythmé,
qui sont carré,
ceci est bien.

le nain .
pas grand je suis,
même petit,
certain on dit,
qui me charrie.

condamné .
le soleil tonne,
il fait très chaud,
et je m’étonne,
sur l’échafaud.

ignoti nulla cupido .
après qu'ovide l'aie dit,
et ne l'ayant point connu,
en pensant je le trouvis,
et c'est plus tard que je sut.

contrepétrie fantastique. ( avec néologisme )
un lutin seul sans armure,
mâchait de secatte, houfle,
il était des " tommes sans blé
ces " tommes " sont pauvres mais purs.